« Kurt Schwitters a inventé un terme étrange pour baptiser les modalités de sa pratique : « Merzen ». En opérant une ablation du nom allemand « Kommerz », en détachant « Merzen » de son « Kom », il retrouve le sens d’une praxis radicale, l’action détachée de toute finalité marchande. S’ingéniant à déjouer les termes qui forment la « novlangue » de l’art contemporain, la critique de l’Encyclopédie des Nuisances de Jaime Semprun est une occasion propice d’altérer certains rites liés à l’écologie des expositions. »
» Kurt Schwitters invented a strange term to baptize the modalities of his practice: « Merzen ». By operating an ablation of the German name » Kommerz « , by untying « Merzen » of his « Kom », he finds the way of a radical praxis, an action untied from any mercantile purpose. By striving to thwart the terms which form the « Newspeak » of the contemporary art, the criticism of The Encyclopedia of the Nuisances, by Jaime Semprun, is a convenient occasion to distort certain rites connected to the ecology of the exhibitions. »
